Philo

Pour ceux qui aiment philosopher je vous propose de lancer un sujet et chacun donne son avis dessus et puis quand on pense que se sujet et clos, on en lance un autre.

Voila je sais pas si sa va intérrésser beaucoups de monde mais je tente quand meme ( "qui ne tente rien n'a rien ).

bon premier sujet (si ce sujet intéresse personne on change ) :

Je repond a mon sujet ( logique) :

Je pense que penser c'est vivre. avoir un esprit critique etc permet de ne pas vivre dans l'inscouciance et par conséquent de "mieux vivre". l'inscouciance permet certe de vivre mais pas de se demarquer donc de garder le sentiment amer d'etre un mouton, donc n'apporte pas une entier jouissance de vivre, l'inscouciant n'est pas entierement heureux.

Mais penser, penser réelement de tout se qui se passe dans le monde, donc avoir une conscience des choses, des evenements et des etres empeche de vivre puisque que ne vivant pas dans un monde parfait l'etre humain a peur, peur de tout si l'on reflechit trop a tout les evenements qui se passe dans le monde, l'etre humain " conscient " garde aussi un sentiment de degout .
Peut on vivre dans la peur constente et un degout si profond de la race humaine elle meme ?
Peut on vivre en étant conscient ? Je pense que non, qui a le dégout de l'etre humain à également le durégout de lui meme, celui là finit par se tuer, donc étant conscient il ne vit pas ( n'est pas hereux) ou ne vit plus ( dégout,suicide ).

Je crois que l'Homme vit mieux en étant inconcient .
Donc la penser tue mais paradoxalement l'etre humain n'est pas sans penser .
Tout est paradoxale, tout est question aussi de " degrés de conscience " .

rien compris moi...

Citation :

rien compris moi...

T u comprend jamais rien de tout fason triton

oulà dur ce topic... surtout à presque 5h du mat'

après sa dépend, tu n'est pas responsable de ce que les autres font dans le monde donc si sa te dégoute fais quelquechose contre plutôt que de te tuer sans rien tenter

Il y aura toujours des moments symapthiques à vivre, des fous rires stupides durant une heure de cours, des premiers baisers, des secrets echangés entre amis...bien sur ce sera pas toujours rose mais est ce que ca n'en vaut pas la peine?
Le monde est-il terrible au point de vouloir fermer les yeux a jamais, nan, nan...en tout cas je refuse

Triton a écrit:

rien compris moi...

j'ai juste compris un truc : au début ca parlait de mouton

He bien pour ma part, je consacre ma vie à la reflexion et à l'esprit.(je suis assez spirituel).
He je dirai que le peu de gens qui arrive a bien se servire de leur esprit et bien yen a dans le tas qui seron encore et toujour des mouton... si on réfléchie bien... une personne qui se démarque et qui est le plus souvent lynché et quelqun qui réfléchie et qui obéit a ces propre base et opinion! alors que la plupart des gens suivent d'autre gens sans savoir pourquoi; ce que j'appel la "masse" et qui sont des "Mouton".

Pour revenir au sujet, je pense que controlé son esprit et l'avoir compris et une super chose mais elle risque de finir par créé un isolement autour de la personne car peu de monde pourrai le comprendre, si il n'y est pas préparé sa risque d'être dur.
Pour ma part je sais que c comme un feu, sa se consumme, donc trop réfléchire pourrai causé la mort, je pense que c comme sa que je partirai et jen serai fier car je continuerai sur ma voie.

Et je répond en disant que je n'aime pas l'homme, suffit de voir mon espace perso, mais je m'ensort, tu na pas tous a fait tord quant meme EVERA.

Citation :

Et je répond en disant que je n'aime pas l'homme

T'es misanthrope ? ou alors j'ai mal compris

Pas nécessairement, au niveau des relations sociales, mais au niveau global...
Au bout du compte, l'homme n'est qu'un parasite, au point de vue de la planéte...

Et il me semble que l'on ne peut pas alors spécialement employer misantropie.
http://fr.wiktionary.org/wiki/Discuter:misanthrope/fusion_daf

Citation :

Pas nécessairement, au niveau des relations sociales, mais au niveau global...
Au bout du compte, l'homme n'est qu'un parasite, au point de vue de la planéte...

Et il me semble que l'on ne peut pas alors spécialement employer misantropie.

Bien parlé sa m'évite de répondre, chacun choisie sa voie, aprés faut réussire a la gérer.
C assez spéciale, je ne me considére pas spécialement misanthrope, car je peux etre trés sociable avec les gens qui m'apréçie.

Je suis éxactement comme toi.

Je propose un nouveau sujet philo si sa en intéresse quelques uns, si le sujet ne vous plaie/inspire pas on en changera.

Sujet: Etre libre suppose t'il qu'on le soit ?

Voila ( bon courage lol )

Je vois que sa n'inspire personne...

La liberté et pour moi une chose qui me fait vivre, si on ne m'avais pas laisser me débrouiller seul au début je pense que j'aurai fini crever à rester cloitré.
Maintenant c plus grave on arrive a un age ou on s'amuse mais il faut de la tune pour vivre, si on rentre dans le monde du travaille la vrai liberté sans va... on bosse pour vivre et c tous, une vie de fourmis et sa jusqua la fin de la vie, vivre pour travailler et sa je le refuse, donc pour le moment c un dilem...
La liberté n'existe plus on a meme pas droit de dire se que l'on pense sous peine de se faire lynché par la masse, ba moi je l'ai en....!

a rien pigé...

Pareil que toi topin...

Vous avez un manque en sagesse. Au prochain niveau faut l'augmenter

Désolé j'ai un peu délaissée mon topic.

Donc je pense que le concept lui meme de liberté se doit d'etre définni.
Etre libre suppose t'il qu'on le soit ? Nous sommes libre puisque vivant en démocratie, libre de nos choix, de notre vie...
Cependant bien que certain diront que nous jouissont d'une certaine liberté, des lois nous reste dicter, imposer.
Bien sur nous avons choisi ceux qui nous les imposent, nous avons le choix de les enfreindrent.
Je pense qu'etre libre, dans toute la liberté dont un etre humain peut jouir ne suppose pas qu'on le soi réélement car, dans une société dont le pouvoir appartient à quelques politiques véreux, la grande maitresse, l'argent et l'influence de L'Eglise sur notre société dicte notre façon d'agir, de vivre. Des choix qui sont en apparence libre, nous finalement imposés.
On nous donnes l'Illusion d'etre libre en nous laissons un peu de liberté, mais le faite est que nous ne le sommes pas.
Embrigader depuis toujours par des codes et une éthique, par une morale chrétienne et le vieux culte de l'argent nous nous voyons influencés, embrigader, mondialisés.
La société forme un moule dont nous sortons tous, il est dur aujourd'hui d'en sortir, quicquonque voudrait se détacher de ces morales et ces lois se voit exlu, paria.
On nous fait croire que l'on est libre afin de mieux nous controler.

Nous sommes sous liberté surveillé, nous sommes libre sans l'etre.
Etre libre ne suppose donc pas qu'on le soit.

Nouveau sujet:

Suis-je ce que mon passé a fait de moi ?

Suis-je ce que mon passé a fait de moi ? Cette question préssupose déjà que notre passé nous soit imposé. Ce qui supppose dans un premier temps que le destin de chacun est déjà écrit et que nous sommes obligé de suivre la trame qui est déjà toute traçée et donc que nous ne pouvons être autrement que ce pour quoi nous existons, c'est à dire jouer notre role au sein de la grande mascarade de la vie.

Je ne suis pas d'accord avec cette hypothèse de départ.(mais ce n'est pas le sujet que de disserter sur l'existence du destin ou non donc je laisse là la question).

Pour autant je suis assez convaincu que ce sont nos actes passés et les conséquences qu'ils ont amenés qui nous définissent. En effet notre éducation est celle que nos parents nous ont donné celle-ci étant le reflet de celle qu'ils ont reçu de la par des leurs et ainsi de suite. Nous sommes en quelque sorte déjà définis par "notre passé".

Mais nous avons chacun notre mentalité propre notre caractère propre et nos expériences nous sont propres de par le fait que chacun d'entre nous à sa manière d'agir et d'aborder les problèmes quotidiens. Et c'est ainsi que notre passé ce construit et que notre être est défini.

Suis-je se que mon passé a fait de moi ? On peut voir cette question de cette manière : Est ce que nos actions conditionnent notre futur ?

Sommes nous a même à contrôler notre destin, sommes nous capable de nous façonner notre propre futur ?
Nous naissons, grandissons, sommes influencés par une culture, un éducation qui conditionne une partie de nous, cela conditionnerait donc notre futur.
En grandissant ayant une personnalité, plus ou moins d'esprit critique, l'être se fait une idée du monde et des choses, il agit directement sur sa vie, ces actions agissent directement sur son présent, il est maître de son futur.

On peut traduire le mot "passé" de deux manières, tout d’abord on peut le traduire en parlant des choses qui ne sont plus, des choses qui sont derrières nous, des choix qui influence notre vie.
Mais ont peu également le traduire comme traduisant l'éducation, les choses que l'on ne contrôle pas, l'enfance.

Notre éducation aurait un contrôle direct sur notre futur puisque faisant en partit se que nous sommes.
Nos parents nous transmettant des valeurs, une culture, eux même influencé par leur éducation, ils façonnent une partit de nous.
L’environnement de notre enfance influerait sur notre futur.
Le passé aurais donc fait de nous se que nous sommes.

Mais si l’on parle d’un point de vue d’un passer proche, contrôler, nous sommes maître de notre présent, maître jusqu'à un certain point de nous même, nous avons le Choix de faire ou non, le choix, la capacité a prendre des décisions pour le présent mais qui peuvent influencer le futur.

Mais le hasard influence aussi notre vie, des aléas du temps qui ne serais pas dicter par un destin écrit ou l’influence du passé.

Je suis se que mon passé a fait de moi, de par mon éducation, mais je fais mon passer et mon présent de par les aléas du temps, de par les choix que je fait.

Le passer incontrôlé, du point de vue de l’enfance, fait se que nous somme aujourd’hui,
Mais le passer contrôler, du point de vue de la vie en générale, ne contrôle que partiellement notre futur, ce passé ne ferais donc pas forcement de notre vie ce qu’elle est, de nous ce que nous sommes.